L'HISTOIRE D'IBRIDE

1996
Création de la maison Ibride
C'est en 1996 à Fontain, en France, qu'Ibride est né du trio familial que forment Carine Jannin, Rachel et Benoît Convers. Dès ses débuts, l'autoédition permet à la maison de créer des objets singuliers et poétiques dont l'essence même réside dans la nature et le monde animal.

2000 à 2002
Collaboration avec de grandes marques
Rapidement, Ibride acquiert de nouveaux savoir-faire en collaborant avec des marques prestigieuses telles que Kenzo et Habitat, pour lesquelles elle dessine et fournit des arts de la table, luminaires et autres accessoires.

2008
Retour vers l'indépendance
La maison d'édition opère un virage créatif et met fin aux collaborations pour s'épanouir dans l'indépendance et s'affranchir des codes. Les deux années qui suivent marquent le lancement de deux collections devenues emblématiques.

2013
Innovation
Ibride prend alors conscience que l'innovation est un vecteur de liberté et investit dans un outil de production en 2013 pour devenir fabricant. L'entreprise inclut dans cette nouvelle organisation les fournisseurs et sous-traitants locaux avec lesquels elle travaille depuis le début.

Depuis 2018
Projets et collaborations
Ce mode de fonctionnement lui permet aujourd'hui de s'adresser au marché HoReCa et de réaliser des projets sur-mesure. Dernièrement, plusieurs projets de collaboration et d'édition ont été réalisés notamment avec le célèbre musée Thyssen-Bornemsiza et la designer Constance Guisset.
FONDATEUR

Carine Jannin
À contre-courant d’une certaine idée de l’entreprise, Carine Jannin a porté des choix qui ont emmené la marque sur une voie éclairée : celle de l’humain. Si le terme peut paraître galvaudé, il recèle pourtant l’essence même de la marque. Elle n’est pas une cheffe d’entreprise conventionnelle : avant même qu’il ne soit de bon ton d’instaurer un management horizontal, elle a favorisé l’intelligence collective et préféré responsabiliser. Derrière elle s’organise la meute, d’un seul et même mouvement. Observer Carine Jannin, c’est constater un intérêt non feint porté à l’autre, un engagement sans réserve pour la maison d’édition. C’est savoir, avant même qu’un seul mot n’ait été prononcé, que la sincérité n’est pas un vilain défaut. C’est aussi se dire, que décidément, l’audace, l’authenticité et la singularité sont toujours plus payantes que l’opportunisme ou la tendance. C’est avoir confiance. C’est rare.